Thomas

J'éprouve d'ineffables allégresses à ta vue, inhérentes à mon cœur qui se martèle de ton absence, souffrant manifestement d'intumescences peurs. Fondées ou non, elles restent, enfonçant leurs griffes de chaton autour, le faisant goutteler de chagrin.

Et le désir de t'appartenir s'intensifie, le besoin que tu me possèdes s'exalte dans une douce enveloppe de rassurance et d'amour. Et quand bien même quelques douleurs, elles ne sont que de vétilles affres dont il s'agit de se séparer en entrelaçant patience et bienveillance.

Je lâche prise et me laisse aller à cette félicité quotidienne, laissant les questions futiles cesser de m'envahir pour profiter sans réserve de ce que la vie nous offre.

J'éprouve un incommensurable bonheur de t'aimer et de te désirer chaque jour. Mon sourire, s'étendant, s'entendant, à l'unique pensée de ton être, cet être qui comble ma vie, ma vie offerte à nue, dans l'attente de tendres caresses quotidiennes, caresses que l'on nomme amour, amitié, érotisme, protection, respect, fidélité, sérénité et tant d'autres.

Et quelle joie, de se réveiller dans tes bras, de s'endormir tête posée dans ton cou en rêvant de cet amour partagé et de cette complicité qui nous porte au dessus de toute relation prosaïque qu'autrui puisse vivre.

Et nous, dans notre bulle d'amoureux, je nous vois, viellis, nous souriant, nous regardant, troublés par notre profonde dilection comme lors de ces instants de délices, suaves, courtois, délicats, virils, je me reveillerai d'un songe d'une réalité irréfragable, d'une vie merveilleuse. Je t'aime.

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