que sont devenus les qui avaient 20 ans dans les années 80.
Virginie Despentes trace des portraits croisés, et pas toujours flatteurs, de ces jeunes qui ont atteint (ou pas) la cinquantaine, des trajectoires brutales, une écriture coup de poing et incisive, mais aussi variée, variable, comme tous ces quinquas qui nous rappellent un pan de notre vie
beaucoup d'émotion, parfois de l'agacement, une Despentes assagie bien que toujours provocatrice