Mafesa est un groupe composé de 3 enfants, très dégourdis, Katalya, Kassim et Samy  rêvent de voyager tout le temps. Tous les jours, ces 3 enfants sont impatients pour découvrir d’autres environnements que le leur, une cité urbaine cosmopolitaine, polluée avec l’air, les déchets de la ville où ils habitent, située sur l’Hexagone. Même si ce lieu a des coins jolis qu’il faut chercher et préserver.

Kassim dit même « Qu’est ce que nous pouvons faire pour changer cela ? Nous pouvons déjà trier nos plastiques dans la poubelle jaune, ne pas jeter nos affaires dans nos quartiers, Ah, que j’aimerais aller au bord d’une plage non polluée aussi »

Le dernier jour de l’année 2019, ils décident de partir à l’aventure tous les 3 pour voir d’autres villes et pays ainsi en se lançant un défi :  Trouver des solutions pour faire attention à l’environnement.  Le groupe Mafesa crie : Allez, nous y allons, restons motivés et croyants avec de l’espoir que l’environnement de notre Terre peut changer encore.

Après quelques heures de route, en covoiturage, pour éviter la surconsommation de gasoil et leurs méfaits sur la planète, les 3 jeunes se retrouvent a Marseillia et sont très impressionnés par cette grande ville proche de la mer. Toutefois, ils peuvent voir que certaines fois avec la pollution lumineuse prend trop de place car ils ne peuvent pas voir les étoiles dans le ciel de chez leur grand-mère qui habite dans le centre ville.

Leur grand-mère paternelle leur dit : « De ma jeunesse, il y avait une collection de livres, les aventures de Samy qui parlaient déjà des effets de la pollution, de l’environnement, des addictions. , essayez de prendre soin de la planète mes enfants».

Puis, le lendemain,  ils décident de partir à la plage, se baigner et profiter du sable, du soleil. Cependant, malgré ce décor idéique, ils peuvent voir que certaines personnes ont laissés des canettes, des bouteilles plastiques dans le sable, dans l’eau.  Samy crie : « Ce n’est pas possible ! il existe des poubelles, que vont devenir les poissons dans l’eau si nous leur donnons des plastiques ? » Puis, les 3 enfants décident de prendre des gants et des sacs et de nettoyer cette magnifique plage.  Ils font les petits colibris de plage face aux déchets pendant une après-midi. Après ce geste, ils sont contents d’avoir contribué au respect de la planète.

Quelques mois après ce voyage, les enfants vont à la campagne drômanesque, dans un endroit reculé où se trouvent des montagnes, des forets boisés de pins et de sapins. Ils peuvent profiter de se ressourcer dans des chemins pleins de fleurs, d’herbes qui sont avec des petits insectes qui font partis de la vie terrestre et là un soir d’été, ils peuvent profiter d’un beau coucher de soleil avec des pluies d’étoiles filantes. Katalya dit : «  Ces endroits et ces instants sont magiques, il faut les préserver, Nous avons de la chance que notre grand-mère maternelle habite ce lieu si féerique où la  préservation de la nature se fait, elle peut nous apprendre que « respecter la Terre, c’est contribuer au bien être des humains avant tout, car si il y a plus d’abeilles, de coccinelles à cause des pesticides, dans quelques temps, nous serons plus là non plus ».

 Puis, ils partent pour la première fois de leur vie, en avion, accompagnés de leurs parents, découvrir un pays extraordinaire situé sur les îles de la Lune, en plein océan indien.

Kassim peut dire  « Ce pays est paradisiaque, nous pouvons y voir de magnifiques plages avec des sables de couleurs différentes, des sauts de dauphins au bord des côtes, des cocotiers qui sont en quantité dans les îles. Lors de notre voyage, nous avons pu manger avec des ressources locales ».

Samy s’exclame « oui,  des fruits et des légumes de saison, super bon !».

Cela dit aussi, ils peuvent voir aussi les effets de la mondialisation, la surconsommation qui peuvent détruire ces endroits de paradis car il n’y a pas forcément de déchèterie, et qu’il y a pas forcément l’eau qui coule au robinet et  l’électricité tout le temps dans certains pays.

Un vieil homme d’un village de cette île, leur raconte une histoire, « vous savez peu avant que vous veniez, les habitants ont eu très peur pour leur vie, il ya eu une incroyable tempête tropicale qui a ravagée beaucoup d’arbres, de maisons, heureusement il n’y pas eu trop de blessés, c’est les effets du réchauffement climatique qui font cela à nos terres ! , prenez en soin avant tout»

Lors de ce séjour, ils ont pu connaître des personnes exceptionnelles telle que des agriculteurs qui prenaient soin de leur terre et de leurs animaux, des pêcheurs qui faisaient attention à leur pêche,  des personnes qui nettoyaient les plages aussi et un gardien au Lac Salé qui disait vouloir protéger cet endroit en le surveillant des touristes, du coup, il les chassait, avec son panneau passage interdit au public, pour ne pas qu’ils polluent cet endroit sacré.

De retour sur l’Hexagone, le trio infernal n’est plus le même, ils ont pris conscience que leur comportement devaient changer, l’importance de trier leurs déchets ici, dans les différents bacs à tri, le plastique, les capsules, le carton, et aussi le verre pour la planète et la lutte du cancer, utiliser l’eau doucement car cela est une ressource utile pour vivre.

Lors de moments familiaux, Samy peut dire aussi « Ah que c’est meilleur, les petits plats fait maison avec les légumes du jardin, tout en sachant que nous pouvons mettre nos épluchures dans le composteur pour nourrir la Terre ».

Maintenant en cette fin d’année, Samy, Kassim et Katalaya vont planter des arbres dans certains endroits de leur parc à côté de chez eux pour faire de cet endroit un lieu magique et continuer le signe perpétuel de la vie. « Une graine qui pousse, c’est un arbre ou une plante qui nourrit la planète en oxygène et qui abrite des insectes, des oiseaux, et grâce aux plantes et aux arbres, il y la diversité de tout être vivant sur Terre » disent ils en coeur. Mafesa