La mère du narrateur est décédée. Celui-ci se charge de prendre quelques jours afin de trouver, dans la maison de la forêt, une musique pour la crémation. Les jours passent sans qu’Albert n’y prenne garde. Il trie, rêve, se souvient.
Cette maison et ses arbres que sa mère aimait tant, qu’elle a protégés sa vie durant contre toutes les agressions qu’ils ont subies. Aujourd’hui, c’est lui qui est dans la maison, et petit à petit, elle prend possession de son être…
Ce roman est un conte dont je suis tombée amoureuse dès les premières lignes. Une histoire sur l’amour et la beauté sauvage de la forêt et de tout ce qui la rend désirable. Ce livre ne peut que vous séduire. N’hésitez pas à entrer dans son univers magique.
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C'est un livre rare : à une époque où beaucoup d'auteurs se complaisent dans une surenchère d'horreurs, celui-ci se palit dans la lenteur, dans la poésie, dans l'incertitude, dans la solitude.
C'est l'histoire d'un homme qui se dissout dans la forêt : dit comme cela, on a peine à y croire, mais c'est l'esprit du livre!