Le fléau Jack Napier est de nouveau derrière les barreaux, mais la sérénité est loin d'être de retour à Gotham, et encore moins au Manoir Wayne, où Bruce peine à retrouver équilibre et sérénité. Son pire ennemi n'a pas seulement ébranlé ses convictions et sa raison d'être, il a également durablement saccagé l'image de Batman et sa légitimité aux yeux des habitants de sa ville. La disparition d'Alfred n'est pas sans séquelle non plus, bien qu'elle laisse derrière lui un héritage inattendu : le journal d'Edmond Wayne daté de 1685, premier de sa lignée à s'être installé à
Gotham et adversaire d'un certain Lafayette Arkham, dont les ossements ont été récemment découvert dans la cellule du Joker.
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Vous pouvez lire ou relire mon Post sur Batman white Knight.
Batman Curse of the white Knight faisait partie de la sélection de @fanny_aip dans 10 livres incontournables à offrir à Noël.
Tout d'abord si vous n'avez pas le premier White Knight, je vous déconseille de lire cette suite, le premier volet à reçu de très bonne critique même si beaucoup on trouvé que Murphy n'a pas été au bout de ces idées. Dans cette opus, Murphy délaisse quelque peu le discours politique pour aller explorer en profondeur le mythes depuis ces origines, il en profite, pour ainsi dire, pour tout casser. Et ça fonctionne carrément. Sean Murphy donne une autre allure à Batman au cours des huit chapitres du volume, il détruit quasiment tout ce qui fait l'identité du super-héros mais il épargne son âme. Il casse à peu près toutes les fondations de Batman tout en respectant le personnage et laisse une porte ouverte à une autre suite pour construire une trilogie. Une belle confirmation que le Black Label D.C fonctionne.
Merci à l'équipe de Cultura qui me l'a procuré rapidement.
La lecture et les créations sont les meilleurs remèdes contre la morosité.