Résumé :
Qu’y a-t-il de commun entre Mary Shelley, Edgar Allan Poe, J.G. Ballard et Mikhaïl Boulgakov ? Ou entre Georges Méliès, Friedrich Wilhelm Murnau, Stanley Kubrick et Michael Haneke ? Ils ont prévu, représenté, décrit dans ses moindres détails, avec une verve éblouissante, la fin du monde. Jusqu’à en faire un spectacle inoubliable,
une œuvre destinée à passer à la postérité, et à façonner nos imaginaires.
À l’heure du Covid-19 et d’Ébola, des explosions chimiques, des bouleversements écologiques, du souvenir lancinant de Fukushima et de Tchernobyl, quelle hantise pourrait nous être plus familière ?
Pour la première fois, une encyclopédie répertorie, avec une érudition pointilleuse et une jubilation assumée, toutes les pluies de météorites, les séismes, les éruptions volcaniques, les tsunamis et les pandémies qui ont irrigué le champ du cinéma, comme ceux de la littérature ou de la bande dessinée, depuis le XIXe siècle. De Hector Servadac à Vongozero en passant par Akira ou Le Mur invisible, du Pic de Dante à Mad Max sans oublier La Route ou Le Jour d’après, c’est une farandole vertigineuse qui se déroule devant nous, à la fois horrifique et fascinante.
La fin du monde est bien un genre à part entière, auquel cette somme rend enfin justice.
Jean-Pierre Andrevon, accoutumé au nouvelle de science fiction et de récit apocalyptique, pendant un temps il avait aussi comme pseudonyme Alphonse Brutsche. Un livre qui relate des catastrophe possible ou imaginable, à ne pas mettre dans les mains d'hypochondriaque mais qui donne raison au survivalistes.
À retrouver sur Cultura. com si vous en avez courage.
La lecture et les créations sont les meilleurs remèdes contre la morosité.