Après avoir déchiffrer celle-ci Grégoire et un voisin vont soumettre le manuscrit à Manig Terzian, claveciniste mondialement connue et spécialiste de Domenico Scarlatti.
Domenico Scarlatti est auteur de 555 sonates et après la découverte de se manuscrit il se pourrait qu'une 556èmes sonates existe mais la partition va disparaître. Car découverte potentielle d’un nouvel opus vient à la fois remettre en cause un corpus jalousement surveillé par les universitaires et susciter les convoitises au-delà.
Cinq êtres, dont l'existence est intimement liée à l'œuvre du musicien, se lancent alors à corps perdu à la recherche du précieux document, dans un contexte où vérité et mensonges, sincérité et faux-semblants ne cessent de se télescoper.
J'ai lu ce roman dans le cadre des coups de coeur pour le magazine FEMINA, j'avoue que lorsque je l'ai reçu j'étais sceptique car ce n'est pas mon genre d'intrigue et les 448 pages mon effrayé mais à ma grande surprise. L'autrice nous plonge dans cette univers entre littérature classique, biographie et policier où nous retrouvons tous les protagonistes dans une grosses partie d'échec autour de leurs amours pour la musique dans un canon interprété par chaque protagoniste au fil des chapitres Depuis son adolescence Hélène Gestern est fasciné par Domenico Scarlatti, elle nous à entraîner avec ce mystérieux titre 555 dans l'errance, l'espoir, l'empathie des protagoniste à la recherche de la vérité sur les sonates de ce musicien. Ma note 3,8
/5 même si ce n'est pas mon style de lecture habituelle.
@clo73 , j'ai pris mon courage pour lire ce pavé de mercredi à jeudi sans rien lire d'autre j'ai sauté le pas car j'avais peur de le laissé en dessous la pile
, finalement celui ci se lit assez bien à ma grande 
.
J'attend avec impatience votre retour.
@spitfire89 @clo73 Mon retour sur ce roman :
Grégoire Coblence est un ébéniste talentueux qui s’est associé à un luthier de renom, Giancarlo Albizon. Sa femme, qu’il adorait, l’a quitté deux ans auparavant sans lui donner de réelle explication quant à leur rupture.
Depuis Grégoire survit en se donnant à fond dans son travail. Giancarlo lui a confié la restauration d’un étui à violoncelle. A l’intérieur de la doublure dudit étui, Grégoire découvre une partition ancienne qui lui fait aussitôt penser à l’oeuvre de Scarlatti, le fameux compositeur de cinq cents cinquante cinq sonates. Un musicien dont l’épouse de Grégoire appréciait particulièrement l’oeuvre.
Cette partition serait-elle une composition jusqu’alors inconnue du musicien ? Grégoire et Giancarlo, pour en avoir le coeur net, montrent la partition à la plus grande spécialiste de l’oeuvre de Scarlatti. Après l’avoir jouée, Manig Terzian semble convaincue elle aussi de son authenticité.
Cette découverte va faire l’effet d’une bombe dans le milieu de la musique classique : Giancarlo espère pouvoir la vendre un bon prix et se débarrasser ainsi de ses dettes de jeu, Manig Terzian se voit enregistrer un nouveau disque. D’autres personnages vont aussi s’y intéresser : un musicologue renommé et un richissime mécène.
Mais l’atelier du luthier va être victime d’un cambriolage pendant lequel la partition sera volée.
Chacun va alors, pour des raisons personnelles et différentes, tenter de la retrouver.
Le jeu de piste suivi par les différents protagonistes est intéressant car chacun y dévoile sa personnalité et ses propres motivations. Entre chaque paragraphe, un personnage inconnu parle, donne des explications. Jusqu’au dénouement final plutôt inattendu.
J’ai beaucoup apprécié la lecture de ce roman et la plume d’Hélène Gestern que je lisais pour la première fois.
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