Bonjour la communauté je vous présente la suite de la saga Le Clan Mackenzie et du tome 1 la Rose des Highlands de Juliette Miller.
Elle a un mois pour apprivoiser celui qui est devenu son mari.
Ecosse, XIIIe siècle:
La rage au cœur, Stella peine à faire bonne figure. Comment son père, le chef du clan Morrison, a-t-il pu offrir sa main à Kade Mackenzie, une brute que tout le monde décrit comme un guerrier froid, insensible et ambitieux ? Rien de commun avec le doux Caleb, son amour de jeunesse que son père a banni pour l’avoir courtisée… Pourtant, en tant que fille de chef, Stella sait qu’elle n’a d’autre choix que de se soumettre, car une alliance avec les Mackenzie renforcerait la puissance du clan. Et, à sa grande surprise, la nuit de noces qu’elle craignait tant n’a pas lieu. Plutôt que de la contraindre, son nouvel époux lui propose un étrange marché : elle aura un mois pour s’habituer à lui. Passé ce délai, il la fera sienne.
Avis :
Afin de nous replonger dans l'histoire Juliette Miller utilise le point de vue de la dernière scène du tome 1 par l'héroïne du tome 2. Très original, la saga est toujours plaisante à lire bien qu'avec peu de surprises. mais j'aime toujours les histoires d'amour des highlands. Mon grief dans ce tome est le point de vue unique de Stella 19 ans.
Extraits :
Il se tenait à l'entrée de la grande salle du manoir appartenant à sa famille, entouré de ses deux frères. Toutes les paires d'yeux présentes lors de cette réunion tant attendue de nos deux clans ne pouvaient faire autrement que de les fixer. Ils étaient grands et imposants. Avec leurs silhouette massives qui se détachaient en contre-jour, ils aimantaient l’attention de tous.
Lorsque je me tournai pour voir de qui il s’agissait et que nos yeux se rencontrèrent dans cette pièce bondée, mon cœur se mit à palpiter de façon inhabituelle et perturbante. Je détournai vite le regard, troublée. Avec quelque difficulté, je parvins à mettre un nom sur les émotions qui s’étaient emparées de moi lors de ce bref coup d’œil. La fascination, la prudence — et, surtout, la peur.
Je n’avais pas tellement l’habitude de parler avec des hommes, mais j’avais comme l’impression qu’il cherchait à me provoquer d’une façon ou d’une autre. Un mois plus tôt, j’aurais été trop timide pour répondre à Tadgh Munro ; être vue en train de discuter avec un homme pouvait entraîner une punition : cela, je ne le savais que trop. Deux semaines plus tôt, même, j’aurais été trop désespérée. Ce soir, en revanche, mes émotions refusaient d’être disciplinées. Une rébellion intérieure toute neuve couvait en moi et semblait vouloir prendre son élan.