380 pages qui se lisent d'une traite. Un récit palpitant d'une femme confrontée à des choix douloureux entre Chicago et Paris, entre la vie et l'amour... Encore un très beau roman de Gaëlle Nohant
Paris, 1950. Eliza Donnelley se cache dans un hôtel modeste sous le nom de Violet Lee. Elle a brusquement abandonné les beaux quartiers de Chicago, un mari fortuné et son petit garçon, n'emportant qu'une valise, son Rolleiflex et une photo de son fils.
Dans un Paris qui retrouve la lumière après les années grises, Violet tente de se réinventer. À travers l'objectif de son appareil photo, elle apprivoise la ville, saisit les visages des humbles, des invisibles. Et, découvrant une indépendance nouvelle, elle se laisse traverser par le souffle d'une passion. Mais comment supporter d'être traquée, déchirée par la douleur de l'exil ? Et surtout, comment se pardonner l'abandon d'un fils ?
Ma note 3.7/5, pour un roman puissant sur une femme libre, Paris et Chicago sont très bien décrit, nous nous imprégnons bien du contexte géo politique de l'époque. Gaëlle Nohant écrit de façon fluide et avec sensibilité même si quelques passages font preuve de banalités.
Merci @spitfire89 pour votre avis. Je pense que ce roman pourrait me plaire.