« Elle n’a pas d’états d’âme la vie, elle n’est coupable de rien. Elle coule dans le lit du temps … »
Le tirailleur ne perdra jamais l’espoir de retrouver ses roses des sables. Parcequ’il n’avait pas mesuré qu’il venait de vendre son âme au diable Yacine accepte le fatum : la guerre, la promesse non tenue de Braïm, l’errance. L’épopée algérienne est finalement un cri d’amour: un amour polymorphe, amour de soi mais surtout des autres. Une ode à la vie et un formidable message d’espoir pour que demain se lèvent toujours des vertueux pour rendre à l’humanité sa part la plus belle.
La poésie des mots chante un pays, une culture, celle de la mère. Trois ans d’écriture pour ne rien trahir. Ce livre est indéniablement une part de lui mais surtout d’elle. Quel plus bel hommage que celui des mots justes ?
les vertueux
très beau livre très bien écrit
Belle leçon de vie d altruisme ,belle description de l' Algérie de l'époque de la guerre ,des droits des caids sir leurs sujets
Yacine vend son âme au diable en échangeant son identité avec celle du fils du caid et faire la guerre à sa place mais a-t-il le choix ?
très belles descriptions de liens entre ferrailleurs ,entre envoyés à la guerre issus du même pays , belles leçons d ' humanité et de rapports entre ceux qui ont l'argent et le pouvoir et ceux qui n'ont rien