Dans un monde où les humains ont disparu après un déluge toxique, après avoir tentés d'éradiquer la multiplication des insectes seul ses dernierss ont pu survivrent. Derrière eux les humains, n’ont laissé qu’une montagne de plastok, matière divine que Noah appris aux insectes comment l'utilisé, il va naître alors une nouvelle société sur l’île d’Hexapoda, les insectes sont les dirigeants alors que les nuisibles en sont les esclaves. Alors que la grande prêtresse Anasta devait annoncer le nom de son successeur elle fût empoisonné, Bug le Puceron sera accusé à tord de se meurtre. Bug fait partie de ces insectes jugés inférieurs. Dans une Société hiérarchisée, il devra croire en son destin s’il veut découvrir la vérité et prouver son innocence. Il se pourrait d’ailleurs qu’avant de succomber, Anasta lui ait transmis un savoir inestimable.
Premier tome d'une trilogie, de Maud Michel et Nicolas Signarbieux.
Fable socio-écologique, qui s'inspire de l'antique des civilisation romaine ou grecque et des pirates. Un univers graphique très visuelle peu de texte avec les bulles. Ce tome se dévore en 30 minutes maximum. J'ai trouvé sa original de plongé dans cette univers du monde des insecte avec un retour dans une civilisation assez primitive comme à l'époque de Jules César pouvoir, complot, trahison et les arènes. J'ai été captivé par les aventures de Bug, quelques rebondissements. On voit les thèmes, environnement, inégalité social, justice, croyance. En regardant la carte on observe les frontières en fonctions des espèces. Le final nous laisse présager un changement de cap une aventure peut être maritime au delà des grandes vague.
Happé par ce tome 1 même si il y a quelques longueurs, j'aurai aimé que quelques points soit plus approfondi et travaillé. J'ai trouvé cette lecture très agréables peut être qu'avec la suite j'aurai le coup de foudre qui ma manqué.
Maud Michel :
Tombée toute petite dans la lecture, elle s'invente des mondes farfelus remplis de magie et de petits monstres. Elle rêve de créer des livres avec ses propres histoires mais ses études l’emmènent dans un tout autre univers : celui de la biologie. Après quelques années sur les bancs de l'école, avec toujours un livre caché dans son sac, elle décroche son diplôme d'ingénieur à L'UTC. Elle continue de gribouiller dans ses carnets, ce qui lui permet de sortir en 2012 son premier album jeunesse.
Nicolas Signarbieux :
Études d'arts plastiques, il a travaillé pendant 10 ans en tant qu'illustrateur et Directeur artistique. Il collabore notamment avec Eric Antoine pour la scénographie et la communication visuelle de ses spectacles puis avec Caroline Loeb sur son livre Mes années 80 de A à Z.
En 2016, il réalise les illustrations et concept art du film de SF Le dernier voyage de l’énigmatique Paul W.R, de Romain Quirot primé aux Audi Talents Awards et présélectionné aux Oscars. De 2007 à 2011, il est également interprète, metteur en scène et auteur dans la troupe de théâtre comique Les Zactoux, dirigée par Eric Antoine, qui s’est produite du festival d’Avignon à l’Olympia. Mais depuis son plus jeune âge, il est reste passionné par la bande dessinée. Premier Prix du concours national de la Bande dessinée de Clermont Ferrand dès l'adolescence, il s'illustre ensuite en étant lauréat du concours BD Raymond Leblanc en 2016. En 2017, il remporte le prix Spirou-Atomium de l'aventure humoristique pour son projet Pebble's Adventures, paru dans le magazine Spirou en 2018. Plastok est sa première bande dessinée au sein des éditions Glénat.
@spitfire89 mon avis sur cette bd 
Un premier tome original que j'ai bien apprécié.
Nous suivons les aventures d'un puceron accusé du meurtre de la grande prêtresse. Un puceron qui sortira de sa classe d'esclave pour devenir malgré lui le héros de cette histoire.
Une épopée fantastique qui mêle humour, aventures, amitié …
Les graphismes sont très colorés et dynamiques, peu de textes, les dessins se suffisent.
Une BD agréable dont l'univers est riche de messages écologiques, politiques ou religieux. L'originalité et l'humour effacent le côté cliché de l'autodestruction de notre Terre où seul le plastique reste comme un vestige de notre ancienne société.
Le second tome promet une belle aventure au-delà des terres que les insectes connaissent que je serai curieuse de lire.
Plastok – Tome 1 L’Empoisonnement
Maud Michel et Nicolas Signarbieux
« Pendant des millénaires, les dieux géants vécurent en harmonie avec les insectes. Mais, lorsque les insectes eurent commencé à se multiplier, les Dieux géants estimèrent qu’ils devenaient trop envahissants et nuisibles et qu’il fallait les détruire. Ainsi vint le déluge toxique, qui détruisit toute vie sur Terre. Puis on ne revit plus les Dieux géants. La seule trace de leur passage sur Terre et de leur pouvoir de création est restée le Plastok. »
C’est avec ce prologue aux accents mythologiques que débute le premier tome de la série Plastok, sur l’idée originale d’un monde où les insectes se sont organisés en une société hiérarchisée à base de castes et où les déchets de notre civilisation humaine disparue sont exploités comme une ressource précieuse. L’empire fourmi est choisi pour accueillir le Saint-Siège de la religion Humanos sur l’île d’Hexapoda, les coccinelles constituent un ordre sacerdotal dont les pucerons sont les humbles serviteurs, quant aux insectes impurs, dits nuisibles, ils sont déportés et parqués en dehors des terres sacrées. Tandis que la révolte des nuisibles gronde et qu’Anasta CXV la grande prêtresse d’Hexapoda prépare sa succession, les intrigues de pouvoir se mettent en place. La sage Anasta est empoisonnée et son cher serviteur Bug le puceron est injustement accusé du crime. Condamné à mort, il fait la rencontre dans sa geôle d’une mante religieuse rebelle et querelleuse qui va l’aider à contrer son funeste destin…
Cette bande dessinée au trait dynamique et aux couleurs vivifiantes ne manque pas d’originalité ni d’ingéniosité. L’idée de départ fonctionne bien, les scènes d’action sont pétillantes, et on s’attache à ce pauvre puceron victime du sort et d’une sombre conspiration. Ce premier tome nous plonge dans un univers convaincant qui donne envie de découvrir la suite des aventures de Bug et de son amie l’intrépide mante.
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