The most insolent man, de Jeanne PEARS, chez Editions Addictives, collection Luv.
EN QUELQUES MOTS :
Sexy, intense, bouleversant.
RÉSUMÉ :
Troy, un célèbre pilote automobile, se retrouve chamboulé par un baiser échangé avec une inconnue dans un bar. Cette femme, au rire disgracieux, est la première à se refuser à lui et à disparaître sans lui donner son nom. Alors imaginez la surprise quand, deux jours plus tard, il retombe sur elle au travail. Cette fille n'est pas n'importe qui, c'est la nièce du patron d'écurie, et sa nouvelle collègue qui plus est. Comment réfréner son désir pour elle alors que leur contrat stipule qu'aucune relation amoureuse n'est autorisé au sein des employés ?
AVIS :
Énorme coup de cœur pour cette pépite... Le milieu automobile ne m'attirait pas du tout avant ce roman, et là je comprends comment tout cet environnement peut devenir sexy en quelques pages. Le ronronnement des moteurs, les blouses de travail, les combinaisons de pilotage, les voitures puissantes et les pilotes craquants aux tempéraments brûlants... Un petit bonheur !
La relation entre Troy et Hope évolue doucement, premièrement car elle est interdite en vue de leur contrat, mais aussi parce que Hope se refuse de céder à son attirance pour Troy. Pour elle, il est un pilote parmi tant d'autres, et les pilotes elle a déjà donné, elle a trop souffert de sa dernière relation. Malgré tout, l'alchimie entre eux est inévitable, et rien n'est meilleur que le goût d'interdit. Quoique... Finalement, nos héros ont beaucoup trop de points communs pour ne pas se rapprocher, et tout compte fait, Troy est différent bien au delà de ce que Hope avait imaginé.
Pour finir, un "drame", ou tout du moins une mauvaise nouvelle, bouleverse l'histoire quand on pense que tout est écrit et ira pour le mieux. Mon petit cœur tout mou a été éprouvé à tel point que je ne savais plus si j'allais assister à un happy end ou tout l'inverse ! Et, oui, j'ai versé ma petite larme, je l'avoue... Une magnifique histoire d'amour, qui m'a faite vibrer et voyager. Une romance qui fera battre votre cœur à 200km/h, aux sons des moteurs et aux notes d'interdit.
🔞 romance adulte = scènes explicites/érotiques.
❤❤❤❤❤/5
Retrouvez ce roman sur le site Cultura ici.
@LeaCultura n'est-ce pas ! Je trouve que les Romances ne sont pas assez connues et reconnues pour ce qu'elles sont : de la littérature avant tout, mais agrémentées d'amour et parfois (souvent) de plaisirs charnels. On commence à en parler de plus en plus sur les réseaux sociaux, et je trouve ça très bien de mettre en lumière ce genre longtemps boudé qui revient à la mode avec de belles maisons d'édition comme Addictives, Black Ink, Hugo, Harper Collins, Nisha et caetera, Charleston, et j'en passe.
La couverture et les titres provocateurs donnent le ton et peuvent freiner certaines personnes, je l'entends, mais c'est aussi ce qui attire les lectrices (car ce sont beaucoup de femmes, on ne va pas se le cacher).
Par ailleurs, ce genre permet d'explorer divers horizons, car avec une même trame de base, on peut partir sur différents thèmes (fond historique, mythologie, ennemies to lovers, campus, relations élève/prof ou boss/employé, sujets sérieux comme deuil/viol/violence/meurtre/..., riders, Érotique, voyages, dark, etc.). Dans ce roman-ci, le thème choisi est la course automobile, et c'est dépaysant quand on sait à peine changer une roue ! 
On pourrait presque s'imaginer au milieu de la graisse de moteur à reluquer les beaux pilotes faire leurs tours de circuit ! Grrr...
@maelle-cultura je te le conseille si tu aimes les Romances, et je serai ravie d'avoir ton retour !
@LeaCultura ah oui, mais les Cinquantes nuances sont un level au dessus... c'est de l'érotique BDSM pour le coup, c'est encore un autre délire, et il faut surtout savoir à quoi s'attendre. Là, The most insolent man est une romance (bon, avec des scènes explicites et détaillées, oui) mais toute douce, pas violente et qui fait rêver (quoique le BDSM fait rêver aussi certaines personnes...).
Après, je pense que les couvertures sont un parti pris aussi... Chez Addictives, c'est rare que l'on ne trouve pas un torse d'homme dénudé, ou un couple enlacé. Chez Black Ink, c'est mitigé, il y a de tout, mais globalement c'est plus sombre. Chez Collection&H, j'ai Lu, Hugo, Charleston, Nisha..., ce sont des couv' gloablement plus neutres qui parlent à un plus large public.
Effectivement, celles de Legardinier sont décalées... mais ces romans-là, on les achète et les lit pour l'auteur, pas pour la couverture !
Je te conseillerai avec plaisir !
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