L'auteur, Angharad Walker a grandi dans des casernes militaires, où se murmurent des histoires de conflits enfouis et de lieux reculés. Elle habite à Londres et s'est initiée à l'écriture à l'université de Warwick. Elle a publié des nouvelles et de la poésie. Ash House est son premier roman.
Dans ce roman nous allons suivre un groupe d'enfants de 11 à 17 ans, ils sont attachants et fascinants, fonctionnant selon leurs propres règles, dans un monde sans adultes. On y retrouvera du fantastique et de l'inquiétante étrangeté, dans la lignée de Miss Peregrine et Sa Majesté des mouches.
Roman à retrouver sur Cultura.com
Voici le pitch :
Maintenant vous n'êtes plus seul.
C'est le lieu de la dernière chance pour Sol.
Ici, on peut l'aider.
Ici, on peut le sauver.
D'ailleurs les enfants l'accueillent très gentiment.
Même si tout semble étrange.
Même s'il n'y a aucun adulte.
Même si la maison semble faite de cendres et vivante à la fois.
Tout semble si paisible jusqu’au jour où arrive enfin le Docteur.
Lui aussi est chaleureux, si bienveillant.
Mais les autres enfants commencent à se montrer nerveux.
Ils chuchotent entre eux, se taisent quand Sol est là.
Et surtout, ils évitent le Docteur.
Comme si soudain, ils étaient terrifiés par cette merveilleuse personne
Nous sommes tout de suite dans l'intrigue, avec son univers bien obscure, Angharad Walker nous met vite au pas en cherchant à nous effrayés. On suit principalement deux personnages dont les prénoms donne le ton Freedom (liberté) et Solitude avec chacun des caractère bien distinct, Solitude nous énerve et nous donne une déprime. Une ambiance mystérieuse des questionnements, mais peu d'explication et de réponse. On se trouve euphorique à la lecture mais à la fin de lecture pas mal de questions sont hélas resté sans réponse.
La lecture et les créations sont les meilleurs remèdes contre la morosité.